- José : Ah voilà enfin le roi d'la classe! L'homme trop bien sapé!... Abitbol!

- George : Ecoute-moi bien mon petit José, tu baises les ménagères: bien, tu dois avoir le cul qui brille! Mais c'est pas ça qu'on appelle la classe.

- George : Tu fais un amalgame entre la coquetterie et la classe... TU ES FOU! Tu dépenses tout ton argent dans les habits et accessoires de mode. MAIS TU ES RIDICULE!... Enfin, si ça te plait! C'est toi qui les portes. Mais moi, si tu veux mon opinion, ça fait un peu... HAS-BEEN!

- José : AH LA VACHE! Moi, j'ai l'air HAS-BEEN?!! J'en ai pour plus d'une barre de fringues sur moi!... Alors VA TE FAIRE METTRE!

- George : Tu n'es vraiment pas très sympa! Mais le train de tes injures roule sur le rail de mon indifférence. Je préfère partir plutôt que d'entendre ça, plutôt que d'être sourd...

- George : Tiens, regarde, les Anglais ont débarqué. On va être obligé de passer par derrière. Tu sais, par ce tunnel tout sombre qui sent pas très bon...
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- George : Quoi "patron"!? Tu veux que je le dise à tout le monde que ton vrai nom c'est Travers de porc sel poivre?

- Orson Welles : Je me permet d'interrompre ce flim parce qu'on se fout un peu de ma gueule. C'est du vol et du plagiat... J'aime pas trop les voleurs et les fils de pute!
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- Le patron du journal : Au fait j'y pense, Callaghan il devrait pouvoir vous aider. Depuis le temps qu'il est là payé à rien foutre, autant qu'il serve à quelque chose!... Ce gros PORC!

- Callaghan : Comprenez-moi mes amis, c'est mon fils, ma bataille, c'est le fruit de mes entrailles, quoi! J'avais un nom et une adresse, ben je lui ai donnés!

- Le flic : Vous dites que j'aille me faire foutre? OK, j'y vais!

- Hugues : Y avait rien de sexuel entre nous! Je vous dis ça parce que je me suis souvent fait traité de pédale, de salope, et c'est facile de traiter les gens de pédés tout ça parce que deux garçons vivent ensemble dans un ranch et portent des pantalons en cuir!

- Le facteur, à Hugues et Jacques : HE LES PEDES, Y A UNE LETTRE POUR VOUS!... Tenez! Bonne bourre!
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- Jacques : Je rêve d'un bon bain dans une Bôonne Aubeerge... Ah j'te jure... j'ai les pastèques!
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- Hugues : Mais qu'est-ce qui te prend à dire "YEP", comme ça?
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- George : Tu sais,... tes excuses, tu peux te les coller au cul, tout comme ton beefsteak, sauf que le beefsteak, ça sert à rien, le patron l'a déjà fait, il a craché dessus.

- Hugues : J'ai connu un mec de droite une fois, il avait dix fois plus de classe!

- Le chef des indiens bilingues : Tu peux rester... Pas de problème! J'suis même content que tu sois venu chez nous! J'aimerais bien que tu restes. On va manger... des CHIPS!... T'entends?! ... DES CHIPS!!! C'est tout ce que ça t'fait quand j'te dis qu'on va manger des CHIPS?!!
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- Le chef des indiens bilingues : George est un fasciste de merde! UN FASCISTE DE MERDE!!!

- Steven, à Jacques : Vous êtes très gentil ...euh attention! J'ai bien dit "gentil", j'ai pas dit "homosexuel", hein!

- Jacques : Bref, en un mot comme en cent, nous nous mîmes en route promptement.

- Dino : Ca va plus du tout. J'ai plus envie de boire, ni de manger... J'ai plus envie de me peigner. J'suis limite nervous breakdown... Wah! Et puis merde! J'ai même plus envie de me laver...

- Dino : Sheraf... Tu connais pas Sheraf?!... C'est un groupe, ils étaient number one. (...) REGARDE! J'me suis niqué les mains, moi, avec cette SALOPERIE DE COLLEC' DE PIN'S A LA CON!

- La rousse, à Jacques : Rester en ville malgré les menaces de George, j'trouve ça drôlement courageux de la part d'un pédé comme vous!

- Hugues : Où ça nous mène la folie des hommes? On court tout droit à notre perte...

- Jacques : HE LES MINABLES! Y A PAS QUE MOI QUI SUIS PEDE, Y EN A UN AUTRE ET IL S'APPELLE GEOOORGE!
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- Jacques : Arrêtez de dire ça! Je ne suis pas gentil, c'est pas vrai! Quand je m'enerve, je me mets dans des états dingues, je suis méconnaissable!

- Steven : Si je fais journaliste, c'est évidemment pour être célèbre, moi j'veux être connu, tu sais pourquoi? Pour niquer les gonzesses!
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- Dino, humiliant son ami devant Peter et Steven : A LA FERME TA GUEULE, TOI DUCON! ESPECE DE CRETIN! QU'EST-CE QUE TU VEUX, NOUS PRENDRE LA TETE, LA? PAUV' CON!
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- Dino : Vous savez, j'arrivais d'Italie, de Turin. A l'époque, j'étais supporter de la Juventus...

- Frankie, à Dino : Nan, c'est à moi de les lever! C'est moi qui décide, et puis d'ailleurs arrête de faire tout comme moi. Baisse les bras et prend ton flingue, au lieu d'être là à me copier! (...) Putain, je m'suis mal démerdé! Pourtant j'ai pas fait UNE concession!

- Frankie : Désolé mais c'est moi qui te reconnait! J'tai vu le premier, toi tu m'as vu en deuxième. Vu? (...) Mais j'suis pas super fort, j'suis mieux que ça, même : j'suis SURPUISSANT!

- Dino, à Frankie : pour être tout à fait exact,... je pense que t'es un OUF, toi! un OUF MALADE!

- Jacques : Qu'est-ce que j'apprend Frankie, éspèce de malhonnète!?... Il parait que t'as des propos intolérables... où y a pas de tolérance!? (...) ENCULE DE TA RACE!

- Dino: C'était un soir. J'avais le spleen, le blues...

- George: Si tu veux me parler, envoie-moi un... FFFAX!

- Le putain d'énergumène: Aime-moi tendre,... aime-moi vrai (...) Bon écoute, tu peux faire tout ce que tu veux, mais évite de marcher sur mes chaussures en suédine bleue! (...) Ne sois pas cruel... Un pour l'argent, deux pour le spectacle, trois pour le caillou...

- Bob : Oui je pourrais,... mais d'abord, faut sucer!
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- Steven : Bon, maintenant t'arrête! Parce que j'te ferais dire que pendant qu'on parle, Peter il a la méga-chiasse! Alors un peu de dignité s'te plait!

- La secrétaire à lunettes : Excusez-moi messieurs, heu... Peter il fait du boucan dans les water! (prononcer "vatère")
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- José : Tu parles espagnol? Mais tu crois que tu m'impressionnes? Moi je sais dire "Allons à la plage Monsieur Renard" : Vamos a la playa Senior Zorro! (...) Non mais pour qui tu me prends, je rêve! La fromagerie en bas de chez moi elle vendait trois choses: du fromage, des ouiches lorraines et de la bouffe chinoise... Alors toi, mec, avec tes régimes à la con, tu me fais bien marrer : t'as devant toi le spécialiste de la ouiche lorraine!
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- Steven (chantant) : Abitbol... George Abitbol... Class, man! Top of the Pop! ... a disparu ... poil au cul ... au large du port de Valparezo, ah c'est beau... mais tout ça nous éloigne de George (...) Angoisse, fausse angoisse! J'ai plus de repères... pour l'instant! Wah dou wah dou dou!

- Dave : Ah ça c'est à peine croyable! J'me trouve une panoplie super bien... une chemise dont je suis hyper fier! Et voila comment on le félicite, le Dave!

- Steven : Mon cher Peter, me voila dans le désert. J'ai un nouvel ami, il me suit partout mais il est un peu con... tu me diras, il a cinq ans...

- Jacqueline : Moi j'pense qu'il avait pas plus de classe que de beurre au cul! J'ai jamais compris comment il a eu le titre...

- Le témoin professionnel, à Steven : Entre, fouille-merde! Je vais t'en filer, moi, du biscuit sur George pour ta feuille de choux! Ca va fuser les potins, les ragots. C'est ma profession, moi, de témoigner, mes témoignages c'est pas d'la daube!

- Peter : Le journalisme total, c'est totalement con!

- Ernest : Monsieur! Vous savez parler avec l'accent canadien? (...) Monsieur Dave!... vous savez parler comme ça, en plissant le visage? Ca a l'air facile, en fait c'est pas évident...

- Ernest, au fan d'hélicoptère : Ecoute, j'ai un truc à te proposer, vachement bien... super balaise. On serait tous les deux complètement irresponsables payés par la CIA avec un hélicoptère... un super hélicoptère, qu'on a intelligemment appelé... SUPERCOPTER!

- Yves : Tiens, si je vous disais qu'y a rien que j'adorais plus que les longues chevauchées solitaires dans les grands espaces vierges,... la communion intime avec la nature, l'extase des sens, un sentiment grisant de liberté,... l'osmose quoi!

- George : C'est ça, la puissance intellectuelle!... bac+2, les enfants!
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- Le videur (voix de Farrugia), à Dave : Alors je vais te dire une chose: y a de la boue, qu'il vaut mieux pas la remuer!

- Pr Hammond, à Steven : Purée... Hahaha, CA J'AIME! Haha... Vous arrivez, vous êtes même pas chez vous, vous vous pointez avec trois quarts d'heure de retard, pas bonjour pas merci, vous filez tout droit au frigo, vous prenez la dernière bière... Haha! Vous, vous êtes un sacré sans-gênes!

- Pr Hammond : Je déteste les animaux préhistoriques partouzeurs de droite, BORDEL!!!... C'est de la MMMERDE de mélanger comme ça partouze et politique, c'est mieux de faire les choses dans l'ordre!

- George : Va te faire branler!... Trotskard!
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- Christelle, à Peter : Mon mari est absent, vous voulez voir mes fesses? Et ensuite, je vous roulerai une pelle...

- George : Babababababah... J'ai les bonbons qui collent aux papiers.

- Christelle : George finit par se lasser de moi, alors il est parti avec une quebequoise... une belle p'tite salope!

- Steven : Bien joué Peter, l'enquête touche à sa fin! On va devenir célèbres. ON VA BIENTOT NIQUER! ON VA BIEN-TOT NI-QUER!

- Gorge Profonde (voix de Chabat bourré) : Kesskeucé!? Des voitures dans les parkings maintenant...

- George : Alors, on peut plus chier tranquille?!

- Gael, à George : Mais oui, j'suis un bab! Et alors? Ca te défrise, vieux réac'?!... Parce que j'ai les cheveux longs, tu flippes pour ton confort bourgeois?! T'as un mauvais karma, frère, si tu supportes pas mes cheveux!... Désolé papy, mais j'ai ma liberté d'expression capillaire!

- Stumpy, à Huggy (voix de Farrugia) : Tu nous fais ta crise, ta p'tite parano!? (...) Eh! Et toi! Ton tuyau, t'as qu'à t'le mettre dans l'cul!

- Steven, à Melle Soso : Si je comprend bien, on s'est tapé une enquête super dure, alors que si on vous avait rencontrée avant, on aurait pu niquer tout de suite, sans même être célèbre...

- Melle Soso : Alors que moi, pendant ce temps là, j'me la suis donnée grave!

- George : Je suis majeur et je fais ce que j'ai envie de faire avec mon p'tit corps!

- George, à Dave : Tu te réveilles à 35 ans pour te demander ce que ça veut dire "Monde de merde"? c'est pas que t'es indiscret... c'est juste que t'es un con! En disant "Monde de merde", j'ai voulu dire que le monde allait mal, c'est un cri de révolte que j'ai lancé à mes frères opprimés (...) Il faut s'mettre au travail, afin de vaincre les fanascismes! C'est un concept à moi, ça dénonce à la fois les fascistes et les fanatiques.