Je crois que je suis tombé sur l’abribus le plus flippant du monde.
Je me demande d’ailleurs si des gens osent vraiment attendre un bus à cet endroit. Ils ont sans doute attendu longtemps… ou alors ils sont peut-être morts :)
Perdu au milieu de nulle part, à deux pas du périphérique, il s’apparente plutôt à un abribus post industriel, post apocalyptique même…
Alors à 2h00 du matin, avec comme seul compagnon le vent qui vous souffle dans les oreilles, je ne vous dit pas l’ambiance !
L’occasion parfaite pour faire venir mon copain Nazgûl, afin d’ajouter un soupçon de flippe à ce cadre parfaitement bucolique…
Photographie inscrite dans la série A l’ombre de la lumière