Troisième photo en plein jour, un contraste saisissant pour ce blog habituellement plongé dans les ténèbres !
Mais je dois l’avouer, même en pleine lumière, je reste fidèle à mes habitudes : un post-traitement qui met en avant les ombres. On ne change pas si facilement.
Ce qui me captive ici, c’est cette répétition infinie de motifs urbains, comme des « cellules » clonées à l’infini.
Cela m’évoque cette séquence du film Tron (1982), avec cet incroyable mate painting représentant un open space labyrinthique, interminable, tout aussi fascinant que vertigineux.
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Localisation : Saint-Ouen (93400)