Cette photographie est une des dernières d’une longue séance de quasiment 2 heures dans un parking souterrain du 14ème.
La fatigue aidant, j’adore cet état de veille passive dans lequel on se retrouve lorsque l’on pratique une activité intensément. Le cerveau rationnel lâche prise (il faut le comprendre, il veut rentrer dormir !), mais le cerveau reptilien a vu quelque chose et il ne vas pas lâcher prise tant que le cliché qu’il a entraperçu ne sera réalisé.
Comme souvent dans mon processus de création, c’est en post-production et lors de la recherche d’un titre pour la photographie que mon cerveau rationnel raccroche les wagons et donne du sens.
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Photographie inscrite dans la série Parkings souterrains
